Quand les nerfs de Siné le lâchent

Charlie Hebdo 11 juin 2008

« Je n’ai jamais brillé par ma tolérance mais ça ne s’arrange pas et, au risque de passer pour politiquement incorrect, j’avoue que, de plus en plus, les musulmans m’insupportent et que, plus je croise les femmes voilées qui prolifèrent dans mon quartier, plus j’ai envie de leur botter violemment le cul !

J’ai toujours détesté les grenouilles de bénitier catholiques vétues de noir, je ne vois donc pas pourquoi je supporterais mieux ces patates à la silhouette affligeante et véritables épouvantails contre la séduction ! Leurs maris barbus embabouchés et en sarouel coranique sous leur tunique n’ont rien à leur envier point de vue disgracieux. Ils rivalisent de ridicule avec les juifs loubavitchs ! Je renverserais aussi de bon coeur, le plat de lentilles à la saucisse sur la tronche des mômes qui refusent de manger du cochon à la cantoche.

Quand on a des parents aussi bornés que les leurs, le seul remède et de leur désobéir et de les envoyer se prosterner ! Et quand ils prétendent que c’est pour des raisons d’hygiène qu’ils refusent le porc, évoquant des maladies datant du temps de leur prophète mais éradiquées depuis belle lurette, mon sang ne fait qu’un tour et se transforme aussitôt en boudin !

La bétise n’a pas de limites, c’est connu, mais arrêtons de la respecter et, qui plus est, de l’entretenir au nom d’une indulgence dont ils ne font, eux, aucune preuve !”

Battre son enfant s'il ne prie pas ou n'apprend pas le coran

http://www.lyonmag.com/article/8023/Condamnee-pour-avoir-frappe-son-enfant-qui-napprenait-pas-le-Coran

11-06-2008
Une musulmane de 29 ans a été condamnée ce mercredi à 500 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Lyon pour violences sur ses enfants et non respect d’une décision de justice.
En novembre 2006, cette femme voilée avait écopé de 2 mois de prison avec sursis pour avoir frappé l’un de ses 3 enfants à coups de bâtons car il n’apprenait pas le coran correctement."

http://www.mouassa.org/French/akhlaq_islam/10educ.htm

L'Education Des Enfants
"Tarbeyat Al-Abna'a"

"Il nous faut signaler que le fait de corriger les tout jeunes enfants durant leur enfance ne fait pas partie des préceptes de l'Islam. Le Prophète (Salut et bénédiction sur lui) a dit: "Habituez vos enfants à accomplir la prière à l'âge de 7 ans. A l'Âge de 10 ans, punissez-les s'ils la négligent et séparez-les au lit." Hadith rapporté par El-Termizie.
Donc, on ne doit recourir à la correction qu'après l'âge de 10 ans, sans brutalité et seulement lorsque l'enfant néglige sa prière. Donc, on ne corrige ni pour des affaires peu importantes ni avant l'âge de 10 ans, car le discernement chez l'enfant ne commence qu'à l'âge de 7 ans et ne se parfait qu'à lâge de 10 ans."

Robert Spencer

Note du blog :

Robert Spencer fait ici une conférence à la fois sur l'islam et sur les débats à propos de l'islam.

Répétons le : faire l'effort de connaître l'islam, et le critiquer en se basant sur ce que ses textes et son histoire contiennent - et non sur des caricatures ou déformations - , ce n'est pas critiquer un milliard de personne, mais c'est connaitre leur idéologie de référence et les problèmes qu'elle nous et leur pose, c'est se donner les moyens à la fois de nous défendre contre les agressions auxquelles cette idéologie peut les entrainer, et de les comprendre et de les aider à trouver des solutions aux problèmes engendrés par l'islam, comme nous avons trouvé des solutions contre nos tentations impérialistes et fascistes en Europe :

faire l'effort de connaitre "la culture de l'autre", rechercher la vérité des faits dans ce domaine, et donner son point de vue critique, et non pas une vile et lâche flatterie, c'est une attitude de "fraternité" vraie

Wafa Sultan nous dit que les musulmans sont dans une prison mentale et que nos critiques les aident à en sortir, même si dans un premier temps elles paraissent en rejetter nombreux dans encore plus de colère et d'extrémisme : elle est psychiâtre, elle sait peut-être un peu de quoi elle parle ... en effet depuis quand nier les perturbations mentales quelle que soit leur source a-t-il jamais aidé une personne "aliénée" par une pression morale ( dont la pression de l'idéologie) de son entourage ?...

Quant à ce qui est de comparer l'islam aux fascismes, là encore, loin d'être une attitude destructrice, c'est une attitude courageuse qui est faite autant pour protéger les cibles de ce fascisme que pour aider les personnes tentées par ce fascisme, car nous savons bien, que si le fascisme a tenté bien des peuples, il s'est aussi souvent retourné contre eux finalement.

Ceux qui flattent l'islam ne sont pas les amis des musulmans, ils sont avant tout des profiteurs et des collabos, ou au mieux des paresseux et des lâches.

Répétons le : être anti-islam, c'est, de même qu'être anti-nazi, se soucier du sort des humains, de tous les êtres humains, c'est pour le bien et la vie, tant des athées, chrétiens, bouddhistes et autres que des musulmans eux-mêmes.

Tribunal Administratif

Le droit d'enseigner l'histoire d'un professeur d'histoire ...

Arrêt du Tribunal administratif de Paris, qui condamne également l’État à verser 1000 euros à Louis Chagnon :
“Sur les conclusions à fin d’annulation et sans qu’il soit besoin d’examiner les autres moyens de la requête : Considérant qu’aux termes de l’article 29 de la loi susvisée du 13 juillet 1983 : “Toute faute commise par un fonctionnaire dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions l’expose à une sanction disciplinaire sans préjudice, le cas échéant, des peines prévues par la loi pénale”; que par l’arrêté attaqué du 30 janvier 2004 le recteur de l’académie de Versailles a infligé un blâme à M. Chagnon, professeur certifié d’histoire et géographie en fonction au collège Georges Pompidou de Courbevoie jusqu’au 30 septembre 2003, aux motifs “qu’il est établi que Monsieur Louis Chagnon a dicté à ses élèves de cinquième un cours dont la formulation simpliste était susceptible de heurter la sensibilité de jeunes élèves: que s’il a pu expliquer le fondement historique de ses propos, il n’a pas justifié le fait d’avoir dicté ces propos à une seule classe de cinquième, la rédaction proposée aux deux autres classes étant, elle, acceptable ; que Monsieur Louis Chagnon a de fait adopté une attitude de provocation, ou commis une maladresse, comportement indignes de la part d’un enseignant”: que comme l’énonce l’arrêté attaqué la vérité historique des propos relatés n’est pas contestée : que, par ailleurs, la provocation imputée à M. Chagnon n’est pas établie : que, dés lors, quelle qu’ait pu être la maladresse commise par le requérant, et pour regrettable qu’elle fût, M. Chagnon est fondé à soutenir qu’il n’a pas commis de faute disciplinaire et demander, pour ce motif, l’annulation de l’arrêté attaqué.

Conseil d'Etat

http://www.conseil-etat.fr/ce/jurispd/index_ac_ld0808.shtml







Ordonnance du juge des référés du 6 mai 2008N° 315631M. Mouhamed B.




Texte intégral

Lire le communiqué de presse


Vu la requête, enregistrée le 25 avril 2008 au secrétariat du contentieux du Conseil d'Etat, présentée par M. Mouhamed B., agissant en qualité de président de l’association culturelle musulmane d’Antony René Guénon ; M. B. demande au juge des référés du Conseil d’Etat :
1°) d’annuler l’ordonnance du 10 avril 2008 par laquelle le juge des référés du tribunal administratif de Versailles a rejeté sa demande tendant, sur le fondement de l’article L. 521-2 du code de justice administrative, à ce qu’il soit ordonné au centre régional des œuvres universitaires et scolaires (CROUS) de Versailles de mettre à la disposition des membres de l’association la salle qu’ils utilisaient dans le bâtiment G de la résidence universitaire Jean Zay à Antony (Hauts-de-Seine) ou toute autre salle d’une superficie équivalente ;
2°) de mettre à la charge de l’Etat la somme de 1 000 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative ;
il soutient que l’urgence résulte de l’impossibilité pour les membres de l’association d’exercer leur liberté de réunion et de culte ; que le refus du CROUS de mettre à la disposition des membres de l’association une salle porte atteinte à la liberté de culte, ainsi qu’à la liberté de réunion et d’association, qui sont des libertés fondamentales ; que cette atteinte est entachée d’une illégalité manifeste, le CROUS ne pouvant, en l’absence d’urgence née d’un péril imminent, recourir à l’exécution forcée pour obtenir la libération des lieux ; que cette atteinte est grave, le CROUS n’ayant pas eu recours au juge pour obtenir l’expulsion des locaux ; que le CROUS a porté atteinte à ces libertés fondamentales dans l’exercice d’un de ses pouvoirs ;
Vu l’ordonnance attaquée ;
Vu, enregistré, le 29 avril 2008, le mémoire en défense présenté par le CROUS de l’académie de Versailles, dont le siège est 145 bis, boulevard de la Reine, BP 563, 78005 Versailles Cedex, représenté par sa directrice, qui conclut au rejet de la requête et à ce que la somme de 1 500 euros soit mise à la charge de M. B. en sa qualité de président de l’association culturelle musulmane d’Antony René Guénon ; le CROUS soutient que la requête n’est pas recevable, l’association requérante ne produisant ni ses statuts ni les autorisations de ses organes compétents pour introduire une action contentieuse ; qu’il n’est pas satisfait à la condition d’urgence, compte tenu de l’intransigeance des membres de l’association qui ont refusé l’attribution d’une autre salle commune, alors qu’ils avaient détourné la salle litigieuse de son usage en la transformant en salle de prière réservée à un groupe de personnes ; que l’urgence ne saurait résulter de la seule négligence de l’appelante ; que le CROUS n’a commis aucun détournement de la procédure d’expulsion, s’agissant d’une fermeture provisoire en vue de la réalisation de travaux de réhabilitation, que l’association en a été avertie et qu’une autre salle a été mise à disposition sous réserve du respect des conditions d’utilisation ordinaire des équipements ; qu’il n’y a pas d’atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale, la fermeture de la salle commune étant rendue nécessaire par les conditions d’occupation en termes de sécurité et de régularité, l’appelante n’ayant jamais sollicité l’autorisation d’occuper une salle ; que le CROUS, en tant que gestionnaire du domaine public de la résidence, a la charge de la sécurité des usagers et de la libre disposition du domaine public, dans l’intérêt du domaine public ; que le CROUS a exercé ses compétences de manière proportionnée aux intérêts du domaine ;
Vu, enregistré le 29 avril 2008, les observations formulées par le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, qui conclut au rejet de la requête ; le ministre soutient que la requête n’est pas recevable, M. B. ne justifiant pas de sa qualité de président de l’association lui donnant compétence pour agir ; qu’il n’est pas satisfait à la condition d’urgence, le juge de première instance ayant estimé à bon droit que l’existence d’une situation d’urgence n’est pas établie, dès lors que la direction de la résidence universitaire n’avait pas donné son accord préalable pour l’exercice des activités de l’association, conformément à ce qu’exige l’article 18 du règlement intérieur des résidences universitaires du CROUS de l’académie de Versailles ; qu’il n’a été porté aucune atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de réunion et à la liberté de culte, les articles L. 822-1 du code de l’éducation et 14 du décret n° 87-155 du 5 mars 1987 relatif aux missions et à l’organisation des œuvres universitaires ne permettant pas la libre disposition des locaux affectés à la mission de service public ; que l’association requérante n’a pas été autorisée à occuper cette salle polyvalente et l’a détournée de son usage ; qu’aucune disposition législative ou réglementaire ne fait obligation au CROUS de créer des lieux de cultes dans les locaux affectés à cet usage, le CROUS n’étant pas un collège ou un lycée relevant du champ d’application de la loi du 31 décembre 1959, ou un édifice affecté à l’exercice d’un culte au sens de la loi du 9 décembre 1905 ;
Vu les autres pièces du dossier ;
Vu le code de l’éducation, notamment ses articles L. 822-1 à L. 822-5 ;
Vu le décret n° 87-155 du 5 mars 1987 relatif aux missions et à l’organisation des œuvres universitaires ;
Vu le code de justice administrative ;
Après avoir convoqué à une audience publique, d’une part, M. B. et, d’autre part, le centre régional des œuvres universitaires et scolaires de l’académie de Versailles et le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche ;
Vu le procès-verbal de l'audience publique du mercredi 30 avril 2008 à 11 heures 30 au cours de laquelle ont été entendus :
- Me de Nervo, avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation, avocat du requérant ;- la représentante du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche ;- les représentants du centre régional des œuvres universitaires et scolaires de l’académie de Versailles ;
Considérant qu’aux termes de l’article L. 521-2 du code de justice administrative : « Saisi d'une demande en ce sens justifiée par l'urgence, le juge des référés peut ordonner toutes mesures nécessaires à la sauvegarde d'une liberté fondamentale à laquelle une personne morale de droit public ou un organisme de droit privé chargé de la gestion d'un service public aurait porté, dans l'exercice d'un de ses pouvoirs, une atteinte grave et manifestement illégale. Le juge des référés se prononce dans un délai de quarante-huit heures » ;
Considérant qu’il résulte de l’instruction que la direction du centre régional des œuvres universitaires et scolaires (CROUS) de l’académie de Versailles a décidé, en janvier 2008, la fermeture de la salle polyvalente du bâtiment G de la résidence universitaire d’Antony, qui était précédemment utilisée par des étudiants de confession musulmane comme lieu de réunion et de prières, afin d’y réaliser des travaux de sécurité ; qu’en sa qualité de président de l’association culturelle musulmane René Guénon, M. Mouhamed B. a saisi le juge des référés du tribunal administratif de Versailles, sur le fondement de l’article L. 521-2 du code de justice administrative, en lui demandant d’ordonner que cette salle, ou à défaut une salle de superficie équivalente, soit mise à la disposition de l’association ; qu’il fait appel de l’ordonnance par laquelle le juge des référés a rejeté sa requête ;
Considérant qu’aux termes de l’article L. 822-1 du code de l’éducation : « Le réseau des œuvres universitaires assure une mission d’aide sociale envers les étudiants et veille à adapter les prestations aux besoins de leurs études… Les décisions concernant l’attribution des logements destinés aux étudiants sont prises par les centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires » ; que le Centre national et les centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires, établissements publics administratifs placés sous la tutelle du ministre chargé de l’enseignement supérieur, sont chargés d’assurer la mise en œuvre de cette mission ; que l’article 14 du décret du 5 mars 1987 précise que les centres régionaux « assurent les prestations et services propres à améliorer les conditions de vie et de travail des étudiants, créent dans ce but les structures leur permettant d’adapter et de diversifier les prestations qu’ils proposent aux usagers en tenant compte de leurs besoins, et peuvent passer des conventions avec des organismes extérieurs de droit public ou privé pouvant apporter leur collaboration au fonctionnement des services des centres » ;
Considérant que, pour l’exercice des missions qui leur sont confiées par ces dispositions législatives et réglementaires, il appartient aux centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires d’assurer la gestion des bâtiments dont ils ont la charge de manière à procurer aux étudiants des conditions de vie et de travail adaptées aux besoins de leurs études ; qu’il leur incombe en particulier de concilier les exigences de l’ordre et de la sécurité dans ces bâtiments avec l’exercice par les étudiants des droits et libertés qui leur sont garantis ; qu’ils peuvent à cette fin conclure des conventions avec des associations regroupant les étudiants qui ont pour objet de contribuer à une meilleure organisation de la vie collective dans la résidence ; qu’en l’absence de disposition législative ou réglementaire spécifique à la pratique des cultes dans les résidences universitaires, le centre doit respecter tant les impératifs d’ordre public, de neutralité du service public et de bonne gestion des locaux que le droit de chaque étudiant à pratiquer, de manière individuelle ou collective et dans le respect de la liberté d’autrui, la religion de son choix ;
Considérant, d’une part, qu’il ressort des éléments soumis au juge des référés que les conditions dans lesquelles la salle polyvalente du bâtiment G de la résidence universitaire d’Antony était utilisée ne permettaient ni d’assurer que seuls des étudiants de cette cité universitaire en avaient régulièrement l’usage ni de garantir à l’administration les moyens de veiller à sa sécurité ; qu’en décidant la fermeture de cette salle pour y réaliser des aménagements nécessaires à sa sécurité, le centre régional des œuvres universitaires et scolaires de l’académie de Versailles n’a, dans ces conditions, porté aucune atteinte manifestement illégale aux libertés fondamentales de culte et de réunion ;
Considérant, d’autre part, qu’il résulte de l’instruction, et notamment des débats au cours de l’audience publique, que l’administration du centre régional est disposée à examiner avec les représentants de l’association culturelle musulmane René Guénon les conditions dans lesquelles une convention pourrait être conclue pour qu’à des jours et heures déterminés, cette association dispose de locaux lui permettant de réunir, dans le respect des exigences de sécurité, des étudiants qui habitent dans la résidence universitaire d’Antony pour qu’ils exercent les activités que cette association a pour objet d’organiser, au nombre desquelles figure la pratique de prières en commun ; que, dès lors, le dossier ne fait pas ressortir d’atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale qu’il y aurait urgence à faire cesser ;
Considérant qu’il résulte de ce qui précède, et sans qu’il soit besoin de statuer sur les fins de non-recevoir opposées à la requête par le CROUS de l’académie de Versailles et par le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, que M. B. n’est pas fondé à se plaindre du rejet de sa requête par le juge des référés du tribunal administratif de Versailles ; que ses conclusions tendant à l’application de l’article L. 761-1 du code de justice administrative doivent, par suite, être rejetées ; qu’il n’y a pas lieu, dans les circonstances de l’espèce, de faire application de ces dispositions et de mettre à la charge de M. B., en sa qualité de président de l’association culturelle musulmane d’Antony René Guénon, la somme que demande le CROUS de l’académie de Versailles ;
O R D O N N E :
Article 1er : La requête de M. Mouhamed B. est rejetée.
Article 2 : Les conclusions du CROUS de l’académie de Versailles tendant à l’application de l’article L. 761-1 du code de justice administrative sont rejetées.
Article 3 : La présente ordonnance sera notifiée à M. Mouhamed B., au centre régional des œuvres universitaires et scolaires de l’académie de Versailles et au ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche.
.

Reconquète italienne




http://ricerca.repubblica.it/repubblica/archivio/repubblica/2008/05/18/165piazza.html
Piazza Oriana Fallaci al posto della moschea
Repubblica — 18 maggio 2008


VERONA - Addio moschea. Al suo posto, piazza Oriana Fallaci.


è la decisione della giunta di Oppeano (Verona), dove ieri mattina le ruspe hanno abbattuto un edificio usato dai musulmani della zona come luogo di preghiera, al posto del quale il Comune realizzerà una piazza intitolata proprio alla scrittrice che, con «Rabbia e orgoglio», aveva promosso una campagna molto aspra nei confronti dell' Islam.



Vérone : une Place Oriana Fallaci au lieu d’une mosquée
Adieu mosquée ! Bienvenue à la Place Oriana Fallaci !
C’est la décision de la municipalité de Oppeano (Vérone), où hier matin, des bulldozers ont démoli un bâtiment utilisé par les musulmans de la région comme un lieu de prière. A cet endroit, la municipalité installera une place dédiée à l’auteur de « La Rage et l’Orgueil», qui avait mené une lutte ardue contre l’islam.



PS : avouons le ... je ne sais pas trop ce que dit ou fait Serge de Beketch par ailleurs, il fréquente des bords dont je ne suis pas, et j'ai tendance à penser que comme souvent les Russes, il va vers l'excès, mais je reprends ici ce texte de lui, avec lequel je suis pour l'essentiel d'accord, sauf que jamais je ne qualifierais d'"envahisseurs" conscients, des gens qui ne cherchent qu'à améliorer la vie de leur famille et n'ont jamais pris les armes pour venir en France, c'est notre pleutrerie, notre avidité et notre avachissement à nous qui fait qu'ils peuvent amener ici les mauvais côtés de leur culture, ou des familles finalement à charge pour la collectivité, mais venues pacifiquement ici.




« Parlons franc :Je suis islamo-négatif.
Je ne suis pas islamophobe, je ne suis pas hostile à l'islam, je ne suis pas en guerre contre l'islam.Je n'ai aucun sentiment à l'égard de l'islam. Je m'en fous radicalement.Tant qu'il reste dans ses terres. Mais chez moi, dans ma patrie, dans mon pays, je n'en veux pas. Un point c'est tout. Je suis islamo-négatif. Je nie le droit de l'islam à prospérer en France. Je nie que l'islam soit une religion. C'est un totalitarisme comme l'indique son nom qui signifie "soumission" et, comme tel, il est du droit de tout homme libre de s'opposer de toutes ses forces et par tous les moyens "y compris légaux". Je nie que l'islam ait rien de commun avec la civilisation européenne et encore moins avec la civilisation française. Il lui est en tous points étranger. Par son caractère, ses croyances, ses rites, ses observances, ses moeurs. Je nie que l'islam ait jamais rien apporté à la France. Aucun chef-d'oeuvre littéraire, musical, architectural, pictural ou sculptural. Rien. Pas un écrivain n'a publié "Le génie de l'islam". Nulle mosquée ne s'élève comparable à Chartres. On attend encore un Francis Poulenc musulman. On chercherait en vain, et pour cause, un Real del Sarte islamiste. Je nie que l'islam appartienne au patrimoine de la France. Il n'a rien laissé rien créé, rien fait pour la France. Aucune oeuvre d'art, on l'a vu. Aucune oeuvre de charité non plus. Pas un hôpital, pas un hospice, pas un orphelinat, pas une association caritative. Où sont les "petits frères des pauvres" qui appliqueraient en France ce "quatrième piller de l'islam" (la Zakkat. En français : terme que l'on traduit abusivement par la Charité ? Où est l'imam dont la personnalité et l'oeuvre pourraient se comparer à celles de saint Vincent de Paul ? Quelle fatma a jamais fait pour les pauvres, les malades, les vieillards ou les enfants de France le millième de ce que font depuis des siècles les religieuses hospitalières, soignantes ou enseignantes ? Je nie l'influence de l'slam sur notre histoire intime. Pas un dicton, pas une coutume, pas un mot, pas un geste, qui exprime, dans le comportement des Français, dans leurs références, dans leur imaginaire, dans leurs souvenirs, dans les chansons, les comptines, les fables de leur enfance, le moindre lien avec l'islam. Aucune oeuvre de progrés, enfin. On nous rebat les oreilles avec l'apport de l'islam en matière de mathématiques, de géométrie, d'algèbre, d'astronomie, de médecine, de philosophie. Mais c'est se foutre du monde ! Où sont, dans l'histoire de l'intelligence française les savants, les penseurs, les philosophes musulmans. Où sont les Pasteur, les Curie, les Pascal islamistes ? Et que l'on ne prétende pas que cette absence s'expliquerait par le magistère de l'Eglise qui aurait fait obstacle à l'éclosion du génie créateur, scientifique, artistique de l'islam dans les bras de sa Fille aînée. Ou alors que l'on explique comment tant d'écrivains, de penseurs, de philosophes, de musiciens, de peintres, de sculpteurs juifs ont pu prospérer en dépit de cet obscurantisme. La vérité c'est que l'islam n'a rien à faire chez nous parce qu'il n'a jamais rien fait chez nous. La déclaration de Chirac selon qui " les racines de l'Europe (donc de la France) sont aussi musulmane que chrétiennes " n'est donc pas seulement le propos d'un imbécile, c'est aussi celui d'un *****. L'islam "à la française" est une double absurdité et un crime de haute trahison. Parce que l'esprit de soumission est à l'opposé même du génie français. Parce que la notion de patrie est contraire à l’oumma, loi islamique qui nie la nation. Parce que les politiciens qui oeuvrent à asservir la France au totalitarisme islamique et à l'invasion afro-maghrébine sont plus coupables que les dirigeants français qui, voilà soixante-trois ans, se résignèrent à la Collaboration. Ceux qui, aujourd'hui, accablent de leurs injures le Maréchal Pétain et le Président Laval, font bien pire. La différence entre les Collabos d'hier et les Coallahbos d'aujourd'hui, c'est que ni le Maréchal Pétain ni le Président Laval, n'ont jamais invité les envahisseurs. Chirac, lui, a ouvert les portes à l'invasion en signant la loi sur le regroupement familial. Le Maréchal Pétain et le Président Laval n'ont jamais dit, dans aucun discours, que les occupants étaient " chez eux, chez nous ". Chirac ne cesse, après Mitterrand, de le répéter. Sous la botte allemande, la Police, la Justice et leurs auxiliaires n'ont pas montré autant de zèle à poursuivre les résistants que les flics, les chats fourrés et leurs "milices antiracistes" n'en mettent aujourd'hui à traquer, à provoquer, à punir les patriotes fiers de l'être et qui entendent le rester. Jamais la France n'a été aussi gravement malade. Infecté par le sida de la coallahboration, cette maladie auto-immune qui détruit toutes les défenses naturelles de la civilisation française, notre pays est devenu islamo-positif. Sa survie est désormais entre les seules mains des islamo-résistants. En avant ! »
Serge de Beketch

Un Voltaire pour Sayed ?

Un journaliste condamné à mort pour blasphème en Afghanistan crie son innocence
Sayed Perwiz Kambakhsh, 23 ans : “J’ai été forcé de signer les documents d’accusation. J’ai été torturé (par les forces de sécurité), je n’avais pas d’autre choix que d’accepter les accusations“. “Je suis musulman et je ne me permettrai jamais d’insulter ma religion“.