Pondre des bombes humaines
Où l'on voit que l'enseignement de l'islam incite au crime contre l'humanité, envers les autres mais envers ses propres enfants aussi, car inciter à mettre au monde des enfants pour en faire d'avance des combattants et des morts, est un crime contre l'humanité ...
TOUTES LES SPIRITUALITES, religieuses ou pas, font de l'espoir de construire pour ses enfants, et les enfants de toute l'humanité un monde de paix et de prospérité, une des principales motivations des adultes ... mais pas l'islam et les autres idéologies inhumaines.
L'islam pousse à fabriquer des enfants pour se réjouir de leur mort à la guerre, ce qui n'est rien moins que du sacrifice d'enfant sur l'autel d'un dieu, comme les pires idolâtres : il est difficile de penser quelque chose de plus abominable.
Décidement non, défendre l'islam ce n'est pas être l'ami des musulmans, mais au contraire leur ennemi, alors que la fraternité avec eux passe par la dénonciation de cette idéologie.
Queen Alexandra and her Grandchildren and dogs

Quand les nerfs de Siné le lâchent
« Je n’ai jamais brillé par ma tolérance mais ça ne s’arrange pas et, au risque de passer pour politiquement incorrect, j’avoue que, de plus en plus, les musulmans m’insupportent et que, plus je croise les femmes voilées qui prolifèrent dans mon quartier, plus j’ai envie de leur botter violemment le cul !
J’ai toujours détesté les grenouilles de bénitier catholiques vétues de noir, je ne vois donc pas pourquoi je supporterais mieux ces patates à la silhouette affligeante et véritables épouvantails contre la séduction ! Leurs maris barbus embabouchés et en sarouel coranique sous leur tunique n’ont rien à leur envier point de vue disgracieux. Ils rivalisent de ridicule avec les juifs loubavitchs ! Je renverserais aussi de bon coeur, le plat de lentilles à la saucisse sur la tronche des mômes qui refusent de manger du cochon à la cantoche.
Quand on a des parents aussi bornés que les leurs, le seul remède et de leur désobéir et de les envoyer se prosterner ! Et quand ils prétendent que c’est pour des raisons d’hygiène qu’ils refusent le porc, évoquant des maladies datant du temps de leur prophète mais éradiquées depuis belle lurette, mon sang ne fait qu’un tour et se transforme aussitôt en boudin !
La bétise n’a pas de limites, c’est connu, mais arrêtons de la respecter et, qui plus est, de l’entretenir au nom d’une indulgence dont ils ne font, eux, aucune preuve !”
Battre son enfant s'il ne prie pas ou n'apprend pas le coran
11-06-2008
Une musulmane de 29 ans a été condamnée ce mercredi à 500 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Lyon pour violences sur ses enfants et non respect d’une décision de justice.
En novembre 2006, cette femme voilée avait écopé de 2 mois de prison avec sursis pour avoir frappé l’un de ses 3 enfants à coups de bâtons car il n’apprenait pas le coran correctement."
http://www.mouassa.org/French/akhlaq_islam/10educ.htm
L'Education Des Enfants
"Tarbeyat Al-Abna'a"
"Il nous faut signaler que le fait de corriger les tout jeunes enfants durant leur enfance ne fait pas partie des préceptes de l'Islam. Le Prophète (Salut et bénédiction sur lui) a dit: "Habituez vos enfants à accomplir la prière à l'âge de 7 ans. A l'Âge de 10 ans, punissez-les s'ils la négligent et séparez-les au lit." Hadith rapporté par El-Termizie.
Donc, on ne doit recourir à la correction qu'après l'âge de 10 ans, sans brutalité et seulement lorsque l'enfant néglige sa prière. Donc, on ne corrige ni pour des affaires peu importantes ni avant l'âge de 10 ans, car le discernement chez l'enfant ne commence qu'à l'âge de 7 ans et ne se parfait qu'à lâge de 10 ans."
Robert Spencer
Note du blog :
Robert Spencer fait ici une conférence à la fois sur l'islam et sur les débats à propos de l'islam.
Répétons le : faire l'effort de connaître l'islam, et le critiquer en se basant sur ce que ses textes et son histoire contiennent - et non sur des caricatures ou déformations - , ce n'est pas critiquer un milliard de personne, mais c'est connaitre leur idéologie de référence et les problèmes qu'elle nous et leur pose, c'est se donner les moyens à la fois de nous défendre contre les agressions auxquelles cette idéologie peut les entrainer, et de les comprendre et de les aider à trouver des solutions aux problèmes engendrés par l'islam, comme nous avons trouvé des solutions contre nos tentations impérialistes et fascistes en Europe :
faire l'effort de connaitre "la culture de l'autre", rechercher la vérité des faits dans ce domaine, et donner son point de vue critique, et non pas une vile et lâche flatterie, c'est une attitude de "fraternité" vraie
Wafa Sultan nous dit que les musulmans sont dans une prison mentale et que nos critiques les aident à en sortir, même si dans un premier temps elles paraissent en rejetter nombreux dans encore plus de colère et d'extrémisme : elle est psychiâtre, elle sait peut-être un peu de quoi elle parle ... en effet depuis quand nier les perturbations mentales quelle que soit leur source a-t-il jamais aidé une personne "aliénée" par une pression morale ( dont la pression de l'idéologie) de son entourage ?...
Quant à ce qui est de comparer l'islam aux fascismes, là encore, loin d'être une attitude destructrice, c'est une attitude courageuse qui est faite autant pour protéger les cibles de ce fascisme que pour aider les personnes tentées par ce fascisme, car nous savons bien, que si le fascisme a tenté bien des peuples, il s'est aussi souvent retourné contre eux finalement.
Ceux qui flattent l'islam ne sont pas les amis des musulmans, ils sont avant tout des profiteurs et des collabos, ou au mieux des paresseux et des lâches.
Répétons le : être anti-islam, c'est, de même qu'être anti-nazi, se soucier du sort des humains, de tous les êtres humains, c'est pour le bien et la vie, tant des athées, chrétiens, bouddhistes et autres que des musulmans eux-mêmes.
Tribunal Administratif
Arrêt du Tribunal administratif de Paris, qui condamne également l’État à verser 1000 euros à Louis Chagnon :
“Sur les conclusions à fin d’annulation et sans qu’il soit besoin d’examiner les autres moyens de la requête : Considérant qu’aux termes de l’article 29 de la loi susvisée du 13 juillet 1983 : “Toute faute commise par un fonctionnaire dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions l’expose à une sanction disciplinaire sans préjudice, le cas échéant, des peines prévues par la loi pénale”; que par l’arrêté attaqué du 30 janvier 2004 le recteur de l’académie de Versailles a infligé un blâme à M. Chagnon, professeur certifié d’histoire et géographie en fonction au collège Georges Pompidou de Courbevoie jusqu’au 30 septembre 2003, aux motifs “qu’il est établi que Monsieur Louis Chagnon a dicté à ses élèves de cinquième un cours dont la formulation simpliste était susceptible de heurter la sensibilité de jeunes élèves: que s’il a pu expliquer le fondement historique de ses propos, il n’a pas justifié le fait d’avoir dicté ces propos à une seule classe de cinquième, la rédaction proposée aux deux autres classes étant, elle, acceptable ; que Monsieur Louis Chagnon a de fait adopté une attitude de provocation, ou commis une maladresse, comportement indignes de la part d’un enseignant”: que comme l’énonce l’arrêté attaqué la vérité historique des propos relatés n’est pas contestée : que, par ailleurs, la provocation imputée à M. Chagnon n’est pas établie : que, dés lors, quelle qu’ait pu être la maladresse commise par le requérant, et pour regrettable qu’elle fût, M. Chagnon est fondé à soutenir qu’il n’a pas commis de faute disciplinaire et demander, pour ce motif, l’annulation de l’arrêté attaqué.