Ce qu'un vrai islamologue, Urvoy, répond à Ramadan

Impressions sur le débat Ramadan- Fourest :

1 : la forme : cela rappelle le débat Chirac – Fabius, où Fabius fut traité de « roquet » …
2 : le fond : quel fond a-t-on envie de demander à priori … ? Jamais Ramadan n’est mis en difficulté, car la seule chose qui lui est reprochée est d’avoir ses positions, or ce sont celles de la jurisprudence islamique pour l’essentiel. Pour expliquer aux téléspectateurs en quoi ses positions sont dangereuses, plus dangereuses que celle d’un Vanneste par exemple, il faudrait connaitre, non pas seulement les livres de Ramadan, mais les textes de droit musulman eux-mêmes.
A quoi aura servi ce débat ? A montrer un Ramadan qui se dit tout disposé à être des plus tolérant et de gauche, posé, ne s’énervant que parce qu’il est interrompu sans cesse, et dont les positions ne sont contredites que sur la base de citations fausses de ses propos. Exactement comme face à Meddeb il y a quelques années.

Ecoutez un vrai savant critiquer les écrits de Tariq Ramadan :

http://islam-connaissance.blogspot.com/2009/11/dominique-urvoy-critique-tariq-ramadan.html

Hypocrisie d'un rappeur musulman : Medine

Coran :
- koutiba ‘alaykumu al-Siyâm ( le jeûne vous a été prescrit)(sourate 2, verset 183)
- koutiba ‘alaykumu al-qitâl (le combat vous a été prescrit).(sourate 2, verset 216)
- sourate 16 , les Abeilles, verset 125 « Par la sagesse et la bonne exhortation appelle au sentier de ton Seigneur. Et discute avec eux de la meilleure façon ».
-Sourate 29 , l’araignée , verset 46 « Et ne discutez que de la meilleure façon avec les gens du Livre » .























http://prisedirecte-banlieue.typepad.fr/lire_la_suite/2009/01/medine-et-le-rap-conscient.html

Quand j’appelle un album Jihad ( 2005) c’est pas pour effrayer et donner le sens conventionnel, à savoir « guerre sainte ». Je redéfinis le terme en donnant son étymologie qui est « le sens de l’effort » et je complète en disant « le plus grand combat est contre soi-même ». C’est dans ce sens que j’essaie de redéfinir certains mots pour enlever les clichés que les gens peuvent avoir en tête et en même temps jouer sur les symboles, sur la provocation.

Human Rights, yes; Allah’s Law, No.

Human Rights, yes; Allah’s Law, No.

Human Rights, yes; Allah’s Law, No.

Islam is a religion, we are told repeatedly, but we are not told that Islam is also a body of law and a political regime of which God is the lawmaker.

The whole of our political history shows that it is of the highest importance to express rights.But the rights stated by Islamic law is contrary to our fundamental rights on the most crucial points.

According to our principles, torture and inhuman and degrading treatment are forbidden, while Islam authorises men to beat their wives and decrees punishments of mutilation and other barbarous tortures.

According to our principles, freedom of belief includes the right to change our religion, while according to Islam, apostasy is a crime punishable by death, as decreed by numerous Muslim sages and numerous fatwas.

According to most of our legislative systems, inciting hatred of others is condemned, because the lawmakers and the Church itself have drawn the lessons of the nameless horror engendered, among others, by the “teaching of contempt of Jews” (as Jules Isaac named it), ... While Muslim prayers contain the “fatiha”, a Coranic verse that teaches contempt of Christians and Jews...

Finally, according to our principles, none of our basic rights and freedoms can be used to eliminate those rights and freedoms, while Islam orders Muslims to combat so that Islam be the only religion and the only law, i.e., for our fundamental freedoms and rights, which we have just named, to be eliminated by Islamic law, and militant Muslims never cease using the term “freedom of religion” to advance the application of the Sharia.

When will our judges, our magistrates and our politicians consent to apply OUR RIGHT by fully respecting its spirit and its aim: to preserve our fundamental freedoms against all attack, including those that misuse the pretext of a freedom of religion?

Ne pas être enterrés aux cotés des athées

http://www.leparisien.fr/societe/il-veut-un-cimetiere-musulman-30-05-2009-531353.php

De plus en plus de musulmans veulent se faire enterrer en France dans un cimetière islamique, ce qu’interdit la loi. Une association vient pourtant d’en faire la demande.

Les membres de l’AMLF (Association des musulmans de Limoges pour la fraternité) savent bien que la loi française interdit les cimetières confessionnels et n’autorise que les carrés à l’intérieur des cimetières communaux (voir encadré).

A Limoges, la place ne manque pourtant pas au carré musulman du cimetière de Louyat. Mais les anciens, comme Mohamed Anfouh, refusent d’y être enterrés. « J’habite Limoges, mes enfants et petits enfants vivent en France. J’aimerais reposer ici, mais sur un terrain réservé aux musulmans », martèle cet homme de 62 ans.

« Beaucoup d’anciens ne veulent pas être enterrés aux côtés des juifs, des chrétiens, et encore moins des athées », explique le secrétaire de l’AMLF, Mohamed Ouladmoussa.

Elena Tchoudinova : "la Mosquée Notre Dame de Paris"

Sortie en France le 15 avril du roman de Elena Tchoudinova « La mosquée Notre-Dame de Paris », best-seller russe

Communiqué sortie Mosquée Notre-Dame de Paris

Communiqué sortie Mosquée Notre-Dame de Paris


Les éditions Tatamis ont été créées en mars 2006 pour publier des livres présentant un grand intérêt mais ayant été refusés par les maisons auxquelles ils avaient été soumis. Des refus motivés par de mauvaises raisons, allant de l’incompétence à la mauvaise foi, en passant par le politiquement correct et le risque économique.

En novembre 2008, Elena Tchoudinova décidait de publier gratuitement sur Internet son roman « La mosquée Notre-Dame de Paris », son best-seller russe qu’elle avait fait traduire elle-même en français. En effet, après trois ans de travail acharné pour trouver un éditeur en France, les efforts de son agent s’étaient révélés vains. C’était donc une bouteille à la mer qu’elle envoyait par Internet, et c’est ainsi que les éditions Tatamis prirent connaissance de l’existence de son livre.

Roman d’anticipation puissant et bien écrit, succès énorme en Russie (près de 100 000 exemplaires vendus depuis sa parution en 2005), ce livre projette le lecteur dans une France de 2048 devenue musulmane. Un voyage que seule la littérature permet, et qui, par delà les aventures humaines narrées dans le récit, pose des questions importantes qui concernent tous nos compatriotes.

Le contact avec Mme Tchoudinova fut dès le début très cordial, et nous sommes rapidement parvenus à un accord sur les droits français et mondiaux de son livre (hors Russie, Serbie et Norvège où le livre est déjà paru).

Tant que ce roman restait refusé par les éditeurs en France, on pouvait croire que nous étions en 2009 déjà proches de la réalité volontairement caricaturale que décrit Elena dans son roman. C’est sans doute la première raison pour laquelle Tatamis a décidé de publier ce récit d’anticipation, bien que d’habitude la maison publie des essais. Fort heureusement, l’Islam en France peut donc encore faire l’objet de romans.

Le roman doit sortir en avril 2009, mais ceux qui le souhaitent peuvent le pré-commander dès maintenant.
Les 100 premiers acheteurs sur le site des éditions Tatamis recevront en cadeau un exemplaire du livre Les Chemins de la puissance, écrit par un collectif d’universitaires spécialisés dans l’intelligence économique.

Toutes les informations sur cette offre se trouvent sur :
http://www.tatamis.fr/sites/journalisme/article/article.php/id/111447

Précision importante, le roman d’Elena Tchoudinova est préfacé par Anne-Marie Delcambre, docteur d’Etat en droit, docteur en civilisation islamique, professeur d’arabe.

Enfin, l’actualité du livre pourra être suivie sur un blog, où figure déjà la 1ère partie de la 1ère interview donnée en France par Elena Tchoudinova :
http://mosquee-notre-dame.blogspot.com/

Bonne lecture à tous !

Les éditions Tatamis
http://www.tatamis.fr

Fanny Truchelut lance un appel à souscription

Puis-je compter encore sur vous ?

L'histoire s'écrit avec ce que les citoyens vivent. Pour laisser une trace de mon histoire, je voudrais sortir un livre. Si j'emploie ce mot sortir, c'est que je vais avoir besoin pour l'écrire de l'aide d'une personne dont le métier est l'écriture. Si un certain nombre de gens utilise les compétences des écrivains publics, peu l'avoue. Pour trouver le budget nécessaire, je vous invite à acheter le livre avant sa parution.
Montant de la souscription : 15 €

J'ai été condamnée le 08 octobre 2008, par la cour d'appel de Nancy à deux mois de prison avec sursis et 4000€ de dommages et intérêts pour discrimination religieuse. J'avais demandé en août 2006 à deux femmes voilées qui se présentaient avec leur famille dans mon gîte, de retirer leur voile dans les parties communes.

J'ai été condamnée avant même que le procès commence – petit condensé :

Le 29 août 2006, suite à des menaces reçues après le battage médiatique de mon affaire, Je suis allée au commissariat de police, dans un état de stress et d'angoisse intense, j'avais des craintes pour notre sécurité. J'explique au policier qui me reçoit la situation. Il a rédigé le procès verbal ci-dessous. Sur le moment, j'ai signé sans faire attention à la formulation, car ce n'était pas le problème qui me préoccupait à ce moment là.

Extrait du procès verbal : « le 11 août dernier, nous avons reçu une famille qui avait réservé un gîte, famille que nous avons refusé d'héberger, mon mari et moi, pour cause de port du voile de deux femmes composant cette famille, femmes qui refusaient, à notre demande, de retirer ce signe ostentatoire de leur religion dans les parties communes du gîte »

Les procès verbaux sont des documents retranscrits par une personne qui en écoute une autre qui parle verbalement.
Les jugements mentionnent : « refusé à Madame X, dans un lieu accueillant du public ou aux fins d'en interdire l'accès, la fourniture d'un bien ou d'un service, en l'occurrence la location d'un appartement dans un gîte rural, à raison de leur appartenance ou non, vraie ou supposée, à un ethnie ,ou à une nationalité déterminée, au motif que deux femmes portaient le voile." (PV du 29/08/2006).
Pour me condamner, le tribunal a retenu le terme : refusé mais a occulté le lieu où je demandais le retrait du voile, les parties communes : Salle de 70 m2 (salon - salle à manger) au rez-de-chaussée mise gratuitement à votre disposition, ainsi vous pouvez vous réunir en groupe ou rencontrer les autres locataires de la maison. Cette salle était en dehors de toute location.

Fanny Yvette TRUCHELUT
Email : fanny.truchelut@gmail.com
Site internet : http://www.a-voix-haute.com/

BANQUE : CIC Remiremont
30087 33661 00020074001 68

Geert Wilders dénonce les dangers du Coran ...

Pendant que Geert Wilders est arrêté en Angleterre, voici ce que des musulmans enseignent à un jeune de 12 ans, sur la base des écrits du coran , des hadiths et de la sira : la décapitation d'un homme au couteau :

http://theync.com/media.php?name=1381-never-before-seen-video-shows-a-young-boy-behead-an-allegded-spy.-uncensored

Attention : INTERDIT AUX ENFANTS,
cette vidéo est extrèmement violente, et ne doit pas être montrée aux enfants,
elle a été affichée dans un format minuscule et illisible afin de ne pas être visualisée par inadvertance,
pour la visionner, il faut cliquer sur le carré pour la mettre en marche, puis la télécharger et visualiser ensuite le fichier avec votre lecteur multimédia.

Cette vidéo est mentionnée dans le film " le 3 ème jihad", produit par un musulman américain dénonçant les musulmans extrémistes.